Cher Philippe,
Ancienne de Créteil, maintenant dans le Loiret, je suit déjà le combat de Roland depuis un certain temps.
Cette nuit mon fils de 12 mois qui fait ses dents nous a réveillé environ toutes les deux heures. Je me suis un instant apittoyé sur mon pauvre sort. Et là, je me suis dit que Roland, lui, sur son lit d'hôpital, aurait sûrement aimé que ses enfants le réveillent. Que ses petits riens du quotidien doivent lui manquer, et que nous ne devons pas nous plaindre car en fait, nos petits malheurs ne sont rien en comparaison de cet homme qui meurt à petit feu pour une juste cause.
Roland.....attention à toi.
Amitiés sincères